Comment choisir son psychologue ? Bon psychothérapeute à Paris 9 proche Saint Lazare et Place Clichy, psy pas cher

Comment choisir son psychologue ? Psychothérapeute à Paris 9ème.

Lorsqu'une personne en souffrance souhaite s'en sortir et qu'elle prend son courage à deux mains pour prendre rendez-vous chez un psychologue clinicien/psychothérapeute, se pose la question de comment choisir un bon psychologue ?

Trouver le meilleur psychologue spécialisé dans sa problématique ? Trouver un bon psychologue ? Trouver un psychologue pas cher ou remboursé ? Trouver un psychologue "qui parle" ? Trouver un psychologue LGBT, musulman, juif, chinois...? Trouver un psychologue TCC, psychanalyste ou encore un psychiatre ?
La liste ne s'arrête pas là, mais l'idée est de trouver le meilleur psychologue en fonction de sa situation personnelle.

Il y a aussi la première rencontre avec le psychologue/psychothérapeute, où le patient souhaite que "le courant passe" ou qu'il y ait "un feeling". D'ailleurs, il arrive régulièrement dans ma consultation que des patients affirment que je ne suis pas la première clinicienne qu'ils rencontrent, mais bien la énième suite à d'autre rencontres où ils se sentaient mal à l'aise.

Il faut garder à l'esprit qu'un psychologue/psychothérapeute est formé pour toute éventualité et toute problématique. Qu'il soit homme ou femme, d'une quelconque origine ou religion, cela ne doit pas influencer son écoute.
De plus, il est une évidence que se sentir accueilli avec bienveillance chez son psychothérapeute est essentiel. Attention toutefois à ne pas se laisser duper par le transfert négatif. En effet, le transfert désigne les projections faites sur le clinicien qui conduit la cure : les conflits infantiles refont surface lors du travail et cela n'est pas toujours une partie de plaisir pour le patient, qui prend alors le psychothérapeute pour responsable de son sentiment de mal-être.
 Au lieu de vouloir abandonner sa cure sous prétexte que le clinicien est un "méchant",  il est justement intéressant d'interroger ces sentiments de méfiance/colère avec le clinicien. S'il fait son travail correctement, il amènera le patient à aller vers ces sentiments désagréables afin de dévoiler des schémas infantiles qui se rejouent dans la cure (et dans le quotidien), mais cette fois-ci, pour en sortir pour de bon.

Un bon psychologue/psychothérapeute n'est pas payé pour caresser dans le sens du poil le patient, mais pour le soutenir dans une construction de son existence avec sérénité, et cela ne se fait pas toujours sans tempête.